Les acteurs du secteur du transport routier dont nous faisons partie doivent aujourd’hui prendre le virage de la transition énergétique. Cela signifie qu’il faut ensemble, et pas à pas, réussir à nous affranchir des énergies dîtes « stocks », ou non renouvelables, comme le pétrole, le gaz fossile ou le charbon. Maîtriser notre consommation énergétique, c’est à la fois réduire nos émissions de gaz à effet de serre, en partie responsable du réchauffement climatique. C’est aussi préserver la qualité de l’air ou encore réduire les nuisances sonores, c’est à dire limiter les risques sanitaires qui découlent de notre consommation d’énergies.
Si l’activité première d’un transporteur – le transport de marchandises – ne changera pas du jour au lendemain, elle devra néanmoins évoluer dans ce contexte de raréfaction des ressources naturelles, et de contraintes réglementaires exigeantes.
Il existe aujourd’hui une multitude de solutions qui présentent à la fois des intérêts et des inconvénients. Et l’enjeu pour les acteurs du transport c’est de ne pas se tromper de vision sur la mobilité du futur.
Avec quel type d’énergie va-t-on circuler demain ?
Quels sont les impacts de ces énergies sur nos écosystèmes ?
Sur notre activité économique ?
Comment choisir la bonne solution alternative ?